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Colombo, Sri Lanka, 28/11/2015

Colombo, Sri Lanka 28/11/2015

Colombo était déjà connu par des marchands romains, chinois et arabes il y a plus de 2000 ans. Les arabes l’occuperont au VIIIe siècle, contrôlant la majorité du trafic entre les royaumes cinghalais de l’intérieur et le reste du monde. Au XVIe siècle, les portugais expulsèrent les musulmans de la ville et y construisirent une forteresse pour protéger le commerce des épices. Les Néerlandais conquirent la ville en 1656 après n siège épique, après quoi les 93 survivants portugais furent autorisés à quitter le fort avec sauf conduit. Colombo fut la capitale des provinces maritimes de la compagnie hollandaise des Indes orientales jusqu’en 1796. Le nom Colombo, introduit par les portugais en 1505, semble dérivé du terme cinghalais classique Kolon Thota, ce qui signifie « port sur la rivière Kelani ».
En raison de sa forme particulière et de sa proximité avec la côte indienne, le Sri Lanka est également surnommé la « larme de l’Inde ».
La cuisine cinghalaise, est très épicée et vairée, elle ressemble à la cuisine indienne. Le curry relève les plats principaux à base de poisson ou de viande, généralement accompagné de riz ou de papadam, une sorte de beignet épicé. La cuisson se fait souvent dans le lait de coco.
Les différentes religions sont représentées, on y trouve des temples bouddhistes, hindouistes, des églises et des mosquées.

Dès notre arrivée, nous avons pu ressentir la pauvreté des gens et dans quelle misère ils peuvent vivre.
Nous avons pris un mini van pour découvrir un peu la ville et ensuite d’en sortir pour aller un peu plus dans des coins plus reculés et profiter dans l’après-midi de la plage.
Nous avons pu observes différents temples, l’ancien parlement dans le quartier du port. Mais c’est bien notre voyage à l’extérieur de la ville qui nous donne toute l’ampleur de la misère  dans laquelle vie ces personnes. C’est vraiment un choc pour nous occidentaux. Le visage des gens semblent vraiment fermés. Les gens vivent sur le sol en terre, où se mélange nourriture, animaux, odeur particulière et bazarre en tout genre. On peut observer encore de manière très présente les conséquences du tsunami.
Arrivé à + de 70kms de la ville, nous pouvons enfin découvrir un autres aspect du Sri Lanka avec ses belles plages et son front de mer qui se reconstruit.

Nous effectuons quelques arrêt sur le chemin du retour et on se rend compte à quel point la circulation est difficile dans ses pays.